« Je n’ai jamais été très doué pour raconter les histoires. Et encore moins pour prendre les bons choix dans ma vie. Mais malgré mes tendances égocentriques j’ai des bons cotés, et j’assume. Mais qu’est ce que j’assume ? Rien comparé à ces milliers d’enfants africains…
Je n’ai aucun problème familial, aucun décès qui pourrait faire figure d’une plainte à la vie. Ma situation globale est en majeure partie satisfaisante. Convenable. Non, je ne suis pas à plaindre, je n’ai pas eu une enfance difficile. Je n’ai eu aucun problème antérieur. A quoi bon vous raconter ma vie si monotone et absente d’éléments accrocheurs.
Me voici actuellement assis, face à ce bout de papier, confronté à cette énigme que vous me demandez de résoudre et perturbé par mon manque d’imagination perpétuel. Que me faut-il écrire à l’encre noir sur cette feuille si blanche. Je ne peux m’y résoudre. Une vie ne peut être contenue sur un bout de papier aussi restreint. Je jette l’éponge. »

Lorenzo Mark Lord.

Article de presse, enquête sur la vie du mystérieux brun ténébreux : Lorenzo Mark Lord.
Après avoir mené une enquête sous la direction du journaliste Ryan Reagan, les secrets intimes du jeune nouveau favori vous sont révélés. La nouvelle vedette des jeunes, le nouveau visage des couturiers les plus reconnus, est originaire de Venise, en Italie. Il est issu d’une famille de prolétaire composée de quatre enfants et de deux parents : Leila et Florence Lord. Le manque de moyen de cette famille à amener à une dissocions. Tandis que les frères et sœurs étaient contraints à rester dans leur ville natale, L. Mark eu l’incroyable chance, aux yeux de cette famille, de découvrir l’Amérique. Il arriva sur les terres des nations unis il y a à présent deux ans. Volant de ses propres ails, il parvint à se faire reconnaitre par les photographes avant tout. Par la suite plusieurs portes lui ont été ouverte, le jeune et séduisant garçon a su mettre toutes les chances de son coté. Parviendra t-il à atteindre les sommets ?

« Je n’ai jamais été en accord avec l’amour sincère et fidèle, où l’on se fait des promesses comme vivre ensemble et mourir ensemble. Cela m’a toujours répugné, comment pouvons-nous promettre l’inimaginable ? Du moins, pour ma part, ces promesses sont totalement absurdes, invraisemblable. Non, je ne connais pas ce sentiment, il m’est si inconnu, si lointain. Je ne pense pas que ce soit des sentiments à partager, à extraire de son être. Le mystère de l’homme est fondé sur ses pensées secrètes que nul ne pourrait découvrir. Abandonner, délaisser mais avancer. Ce sont les seuls mots que je vous conseillerais. »

Lorenzo Mark Lord.

« Emporte-moi. » Elle laissa échapper ces mots qui retentirent et vinrent frapper l’oreille sensible de L. Mark. Elle lui décrocha un sourire, un petit sourire, si léger qu’il laissa un air mesquin sur le visage du jeune homme. Leurs corps s’entrechoquaient, ils étaient dévêtus, tout portait à croire que ces personnages s’étaient trouvés, qu’ils vivaient une passion partagé éternellement passionnelle. « Lorenzo, dis-moi des mots d’amour… » Ses yeux se remplissaient de larmes. A présent, des étoiles lui éblouissaient la vue. Plongé dans le bonheur, cela ne faisait aucun doute, elle était heureuse. Mais ces instants ne pouvaient durer éternellement. Le bonheur existe pour remplacer le malheur mais le malheur existe pour remplacer le bonheur. Et le malheur frappa. « Je t’aime Eliza » Calomnies, skiez, mensonge… L. Mark a compris les durs sacrifices de la vie, le mensonge rend puissant, il vous donne le pouvoir des mots. Obtenir ce que nous voulons, c’est le but de chacun d’entre nous. LM était plutôt performant dans ce domaine. Son narcissisme lui apportait aussi beaucoup de fierté. Il a toujours su tourner ses phrases à son avantage pour des fins biens méritées. LM s’empare souvent des mots sans importance, qui s’envolent au vent comme des pétales fanées emportant avec eux tout le bonheur éprouvé par un grand nombre d’entre elles. Mark ne préoccupe pas des souffrances des autres. Cet être a des tendances égoïstes pouvant s’accentuer d’avantage chez l’une que chez l’autre. L’hypocrisie fait partie de ses valeurs, cet attrait ne le quitte pas d’une semelle, cependant il peut constituer une qualité.

« Je me sens malade. Meurtri. Je suis hors de moi ; Totalement désemparé. Je persiste à me sauver tout en sachant que je me noie. Je suis compressé, mal à l’aise, confronté à une situation inattendue. Je fais face aux aléas de la vie, à une avancé accentuée et effrayante dont je n’aurais pas cru être mêlé. Je suis tel un nouveau né, le monde me parait mystérieux, incompréhensible. Et j’ai beau tout essayé pour lutter, je suis rattrapé, dépassé. Je ne cherche plus à faire la course contre la montre, j’ai trop couru, j’ai trop fui. Je peux vous persuader, j’ai essayé. Mais à quoi bon ? Quelle fin aurait pu m’enthousiasmer ? Aucune. J’ai été encerclé, cerné par le simple allé que la vie nous fait surmonter sans même un retour pour chance. J’aime jouer et j’ai joué seulement je n’étais pas seul dans la partie. J’ai cru être le plus fort, je pensais être invincible, inaccessible ; Elle m’obsédait. Quand j’ai essayé elle m’a rejetée. L’homme que je suis a persisté, j’ai cru gagner mais elle m’a eu. Elle a triomphé mais quel trophée a-t-elle emportée ? Un cœur brisé par l’inconnue ou un cœur effrayé par la nouveauté ? Mon cœur est occupé, mon corps est emparé. Je me suis égaré. Je perds conscience à ses cotés, je perds tout le contrôle de mes pensées. Mais qui suis-je ? Je ne sais plus. Pour simplifier, je n’ai jamais aimé, j’ai toujours été aimé et maintenant, j’aime. »

Lorenzo Mark Lord, désemparé d’Aze